~~ SeRaS-Tu Là ? ~~
~~ Guillaume Musso ~~
Editeur : PocketNombre de pages : 336Un seul geste aurait suffi pour tout changer.
Qui n'a jamais rêvé de revenir à cet instant décisif où le bonheur était possible ?
San Francisco. Elliott, médecin passionné, ne s'est jamais consolé de la disparition d'Ilena, la femme qu'il aimait, morte il y a trente ans.
Un jour, par une circonstance extraordinaire, il est ramené en arrière et rencontre le jeune homme qu'il était, trente ans plus tôt. Il est revenu à l'instant décisif où un geste de lui peut sauver Ilena.
Et modifier l'implacable destin qui a figé son sort à jamais.
Un stupéfiant face-à-face, Une histoire d'amour bouleversante, Un suspense à couper le souffle.
Très belle surprise que ce roman de Musso !
Après mes déceptions successives avec "La fille de papier" et "Parce que je t'aime" je me suis mise à la lecture de "Seras-tu là ?" sans grande conviction ....
Au fil des pages, je me suis laissée envouter par la magie, intact pour une fois (merci Mr Musso !) de ce roman.
J'ai aimé les petites citations en entête de chaque nouveau chapitre.
Les personnages sont attachants, comme toujours, et une histoire qui tient la route, bien ficelée et nous tient en éveil jusqu'à la dernière page.
336 pages qui filent, comme file la vie, peut-être, avec l'irrésistible envie de savoir le dénouement.
Comme à son habitude, Musso nous lance quelques références littéraires à savoir Agatha Christie puis un clin d'œil sympathique à Stephen King :
"Carrie par Stephen King. Il en lut distraitement le résumé.
Bof, pensa-t-il en reposant l'ouvrage, encore un auteur que tout le monde aura oublié dans 5 ans ..."
Je n'en dirais pas plus pour ne pas vous gâcher le plaisir de cette jolie lecture, pas le roman du siècle, certes, mais un petit passage agréable tout de même !
Quelques phrases sympathiques parmi lesquelles une citation d'un auteur que j'aime beaucoup, Carlos Ruiz Zafon : "Et gardes tes rêves, (...). Tu ne peux jamais savoir à quel moment tu en auras besoin."
"Il n'avait peut-être plus que quelques semaines à vivre, mais il venait de retrouver l'essentiel.
L'espoir."
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